岸伯公開向BNO專家黃世澤提國際法律問題:一位祖藉爪哇,在香港出生長大,以BNO係英國國民自居,但居住地 Domicile 係德國,同一位尼日利亞藉女士结婚,有意婦唱夫隨去非州移民。請問,這位人兄的遺產,是按 爪哇?or 香港? or中國 or英國? or德國? or 尼日利亞 的遺產法律處理? 簡單答案在我20號星期六視頻中,但並不能解決意外發生無準備的死亡例如中左武漢 virus。
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【法律一分鐘】新加坡開放可變資本公司(VCC)之投資架構
作者:李宜芳律師
新加坡在2018年10月1日通過可變資本公司法(Variable Capital Companies Act,下稱「VCC Act」),該法並於2020年1月14日正式生效,期望藉由開放於新加坡設立可變資本公司(Variable capital companies,下稱「VCC」)的投資基金架構,提供多元的投資工具選擇,以促進新加坡國內的金融發展。且為更進一步推動該投資工具,政府更推出具吸引力之優惠補助方案。另外,新加坡海外設立的基金亦得於原先投資架構不變條件下,重新返回新加坡國內註冊登記(re-domicile)。
VCC為一以可變資本投資公司型態而存在之集合投資計畫,其資本毋需固定且可以變動,因此得自由的透過發行股份或買回股份的方式增減其資本。此外,其股利的發放也得自資本支付之,而毋須以獲利為前提,使基金管理機構得以更佳地達成其支付股利的策略。VCC得為單一基金或傘型基金的型態,傘型基金旗下得設立多個子基金,而各子基金間責任資產獨立分離。各子基金間得由共同的基金管理機構所管理,有效降低傘型基金的設立成本。VCC得以開放式或封閉式的型態設立。
台灣現有的國內基金係採證券投資信託基金之架構,亦即僅提供契約型基金,而未提供例如VCC型態公司型基金之選擇,為使台灣金融環境更加多元,並為協助國內基金得更加便捷的進駐海外市場,或可擬引進該等VCC型態之基金。此外,目前金管會正積極研擬如何將壽險業資金引導至國內,藉由VCC型態之投資基金,可將壽險業資金挹注至公共建設、綠能開發或是金融科技產業發展,亦可考慮將現行之不動產投資信託基金修改成VCC型態之基金;不同於將現有證券投資信託基金制度進行修改,全新的VCC制度創立可直接針對不同產業的需求,建立更有彈性的投資制度,而無需受現行證券投資信託基金諸多法規的限制(例如分散投資的要求等),可更加專注投資報酬與風險管控,而在制度創建初期,或可將投資人資格限於高資產客戶或專業投資機構,待投資市場成熟後,復開放給一般投資人就VCC進行投資。
(本文之內容不代表本所之立場或法律意見)
domicile法律 在 以身嗜法。法國迷航的瞬間 Facebook 的精選貼文
女權節, 無可避免地有很多標榜爭取女權的行動.
也照例有很多自以為獨醒的言語 : "女人不是沒有權力, 只是比較弱" , " 爭女權只不過是潮流 ", 而且出自女人之口.
我的態度是, 只要世界上還有女人為此而受苦, 甚至犧牲生命, 享有男女平權的人就沒有權利說 "追求平權不過是潮流" !
我想到好幾年前, 一位法國朋友的叔父在越南經商, 大言不慚地說 "我才不在乎越南民不民主! 我只要能賺錢就好了 ! " 我朋友很義正嚴詞地反駁 : "你知道現在還有多少人為了你不屑的民主平白喪失了性命嗎? "
既得權利者為何總是自私?
還有人說, 法國女人的權利也沒有比較不好啊!
我跟他說, 那你們準備好讓女人當總統了嗎? 你們的女政治人物也準備好了嗎? 也許法國的法律沒有禁止, 但是道德上呢? 你真認為法國男女有絕對平權嗎?
像日本, 法律有規定女職員要幫男職員倒茶嗎? 正因為不是法律規定, 所以更可怕不是嗎?
薪資差異, 做家務跟陪小孩的時間長短, 都可以用法律來規定. 只有心態很難以唯物論之.
***
這篇貼文是左派議員寫的, 他之前拍過紀錄片 Merci Patron , 揭露法國LVMH集團總裁如何唬弄勞工.
他在國民大會發起"議員自己打掃" 的運動. 希望大家能正視階級差別.
讓我想到西班牙婦女在女權節那天, 呼籲女人罷工幾小時, "讓世界停止運轉幾小時" .
真的! 除了性別, 階級差異也在持續中.
只因為你比較有錢, 或職務比較高, 就可以一再指使或刁難服務你的人, 不是很奇怪嗎?
人生修羅場也不過如此.
Ce matin, on a tapoté à la porte de ma chambre-bureau, au 101 rue de l’Université.
J’étais encore au lit, je n’ai pas réagi.
La porte s’est ouverte, j’ai grogné un “Je suis là”, et la porte s’est refermée avec un “Oh, pardon !”
Comme j’étais réveillé, je suis descendu au petit déjeuner.
Quand je suis remonté, les tapis de douche ne trainaient plus dans la salle de bain, la cuvette des toilettes était récurée, les serviettes changées, les poubelles vidées.
Le même miracle se reproduit tous les jours.
Ce n’est pas l’œuvre d’une fée, non, mais de femmes.
J’ai échangé avec elles, rapidement, dans les couloirs.
Elles arrivent à 6 h, elles repartent à 10 h.
Assez tôt pour ne pas déranger le travail des députés.
Du lundi au vendredi, ça leur fait une vingtaine d’heures par semaine.
A raison de 9 € de l’heure, leur paie s’élève à 600 € et quelques par mois.
Bénéficient-elles de tickets-restau ? Non.
Sont-elles un treizième mois ? Non.
Des primes de panier ? De salissure ? Non.
Seulement 50 % de réduction sur le pass Navigo.
Et tant mieux, parce qu’elles ont une petite heure de transport à l’aller, et autant au retour.
Ce pupitre ciré, ici, c’est elles.
Les cuivres lustrés, c’est encore elles.
Les marbres luisants, c’est toujours elles.
Elles sont partout et pourtant, elles sont absentes.
C’est le propre de la propreté : elle ne laisse pas de traces.
Leur travail est invisible.
D’autant qu’on s’applique à les rendre, elles aussi, invisibles.
Elles viennent ici tôt le matin, je l’ai dit, en horaires décalés.
Pour nous éviter de les croiser.
Et peut-être pour nous épargner la honte.
Car comment n’aurions-nous pas honte ?
Honte de ce fossé ?
Sous le même toit, dans la même maison, elles sont payées dix fois moins, avec toutes des temps partiels contraints, toutes sous le salaire minimum, toutes sous le seuil de pauvreté.
Notre Parlement, plein de raisonnements et de bons sentiments, s’accommode de cette injustice de proximité.
Je mentionne ça, parce que c’est sous nos pieds, sous notre nez.
Je le mentionne, également, parce que c’est à l’image de la France.
Toutes les entreprises, toutes les institutions, les universités, les régions, les lycées maintenant, les collèges, les hôpitaux, les gares “externalisent” leur entretien. ça fait moderne, “externalisé”.
Ca fait des économies, surtout.
Ca signifie que, silencieusement, au fil des décennies, à travers le pays, des milliers de femmes, à vrai dire des centaines de milliers de femmes, ont été poussées vers la précarité, vers des horaires coupés, vers des paies au rabais.
Je le mentionne, enfin, parce que ça vaut pour le ménage, mais au-delà aussi.
Ca marche pareil pour les AVS, auxiliaires de vie sociale et auxiliaires de vie scolaire, pour les assistantes maternelles, pour les emplois à domicile en tous genres. Pour toutes celles, des femmes le plus souvent, pour toutes celles qui s’occupent de nos enfants, des personnes âgées ou handicapées.
Quand ce travail n’est pas tout simplement gratuit, compté pour zéro dans un PIB aveugle.
J’entends volontiers parler, dans cet hémicycle et ailleurs, d’une “société de service”, et chaque fois ça nous est vanté avec gourmandise, comme une promesse de bonheur.
Forcément, nous sommes du côté des servis.
Servis ici, à l’Assemblée, et aux petits oignons.
Servis dans les hôtels.
Servis dans les supérettes.
Servis jusque chez nous par des nounous.
Méfions-nous.
Méfions que cette société de service ne soit pas une société de servitude, avec le retour des serfs et des servantes, des bonniches, mais sous un nouveau visage, sous un autre nom, plus moderne, plus acceptable,
et qui nous laisse à nous, la conscience en paix.
Avec, en prime, en plus de la chemise repassée, de la moquette aspirée, des Chèques Emploi Service défiscalisés.
Notre confort est assis sur cette main d’œuvre bon marché.
Alors, depuis cette semaine, l’ambition présidentielle est partout martelée : à travail égal, salaire égal.
Fort bien.
Mais ça ne suffit pas.
Vous devez, nous devons, revaloriser les métiers largement occupés par des femmes.
Leur bâtir de réels statuts.
Leur garantir des revenus.
D’autant qu’ils sont, bien souvent, les plus utiles.
Virez les publicitaires.
Virez les traders.
Virez les nuisibles.
Mais payez comme il faut les aide soignantes, les infirmières, les auxiliaires de puériculture.
Avant de légiférer pour le pays, qu’on me permette de démarrer plus petit.
Par ici.
Par la poutre que nous avons dans notre oeil.
Puisque se mène, nous dit-on, une grande réforme de notre Assemblée, qu’on ne les néglige pas, ces femmes de ménage.
Qu’on les intègre au personnel.
Qu’elles bénéficient de temps complets, et de primes, et de treizième mois.
Qu’elles ne touchent pas, sans doute, nos salaires de parlementaires. Oublions l’égalité, mais qu’elles gagnent un revenu décent, digne d’elles et digne de nous.
Qu’elles passent au-dessus du Smic et du seuil de pauvreté.
Monsieur le Ministre, madame la rapporteur, mes chers collègues, j’espère vraiment que, pour une fois, mon voeu sera exaucé.
Je compte sur vous.
Ou alors, je vois une autre option.
Dans Les Côtelettes, de Bertrand Blier, on demande :
“Vous savez à quoi on reconnaît un riche ?
C’est quelqu’un qui ne nettoie pas ses toilettes lui-même.”
Une alternative, alors, c’est que les députés et leurs équipes nettoient leurs toilettes eux-mêmes.
Et qu’avec une telle mesure, cette tâche ne soit plus attachée à un genre.
Que l’on compte parmi nous des hommes de ménage et des hommes pipi.
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